Médailles et Médaillons

Médaille de mariage

Giovanni Filangieri di Candida
1479

En effet, celui-ci souhaite rentrer dans les bonnes grâces des ducs de Bourgogne et de leur administration. Candida, en grandes difficultés financières car il n’a pas été payé pour son service au temps de Charles le Téméraire, s'est plaint dans une lettre de l'avarice bien connue de Frédéric III de Habsbourg et de son fils Maximilien. Mal lui en prit, la lettre est interceptée et rapportée à l'empereur !

Il est envoyé séjourner en prison, tout d’abord quelque temps en Allemagne. Relâché, il est de nouveau incarcéré à Lille lors de son passage pour rejoindre la duchesse.

A l’avers, l’archiduc Maximilien de Habsbourg est représenté en buste, regardant à droite. Il est vêtu d’une robe ouverte en pointe, dont on voit le revers, et d’un surcot, vêtement porté sur le dessus, lacé. Ses cheveux longs et ondulés recouvrent ses épaules. Sa tête est ceinte de deux couronnes : l’une en torsade retient les cheveux, et au-dessus, l’autre qui pourrait être de myrte, un arbuste symbole de l’amour et du mariage de l’Antiquité à la Renaissance.

La légende indique en latin : Maximilien, fils de Frédéric l’empereur, duc d’Autriche et de Bourgogne.

Au revers, la duchesse est en buste regardant à droite, les cheveux noués en chignon vers l’arrière. On voit le haut de sa robe largement décolletée. Le champ derrière la nuque porte un monogramme, composé de deux M entrelacés sous la couronne des ducs. Cette image de Marie de Bourgogne est une des rares qui soit connue. Par la suite, elle est reprise systématiquement quand il s’agit de la représenter.

N° d’inventaire : MD 17

Détail :

La légende indique en latin : Marie, fille de Charles, duc de Bourgogne, d’Autriche, de Brabant, comte de Flandre.

Médaille de mariage
Médaille de mariage

En effet, celui-ci souhaite rentrer dans les bonnes grâces des ducs de Bourgogne et de leur administration. Candida, en grandes difficultés financières car il n’a pas été payé pour son service au temps de Charles le Téméraire, s'est plaint dans une lettre de l'avarice bien connue de Frédéric III de Habsbourg et de son fils Maximilien. Mal lui en prit, la lettre est interceptée et rapportée à l'empereur !

Il est envoyé séjourner en prison, tout d’abord quelque temps en Allemagne. Relâché, il est de nouveau incarcéré à Lille lors de son passage pour rejoindre la duchesse.

A l’avers, l’archiduc Maximilien de Habsbourg est représenté en buste, regardant à droite. Il est vêtu d’une robe ouverte en pointe, dont on voit le revers, et d’un surcot, vêtement porté sur le dessus, lacé. Ses cheveux longs et ondulés recouvrent ses épaules. Sa tête est ceinte de deux couronnes : l’une en torsade retient les cheveux, et au-dessus, l’autre qui pourrait être de myrte, un arbuste symbole de l’amour et du mariage de l’Antiquité à la Renaissance.

La légende indique en latin : Maximilien, fils de Frédéric l’empereur, duc d’Autriche et de Bourgogne.

Au revers, la duchesse est en buste regardant à droite, les cheveux noués en chignon vers l’arrière. On voit le haut de sa robe largement décolletée. Le champ derrière la nuque porte un monogramme, composé de deux M entrelacés sous la couronne des ducs. Cette image de Marie de Bourgogne est une des rares qui soit connue. Par la suite, elle est reprise systématiquement quand il s’agit de la représenter.

N° d’inventaire : MD 17

Détail :

La légende indique en latin : Marie, fille de Charles, duc de Bourgogne, d’Autriche, de Brabant, comte de Flandre.

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